N'importe naouak!
Aimer quelqu'un sans vouloir (lui) donner, ça sert à quoi? C'est quoi être généreux?
Donner du temps d'abord (non il faut (se) donner à son travail, c'est la Première chose dans la vie, c'est là où on passe le plus clair de son temps et là où on relève tous les défis).
Donner de la tendresse (et puis quoi encore, ça veut dire quoi d'abord, ça dépend, des gestes offerts, lorsqu'ils ont déja été demandés et qu'on pense qu'on n'a plus à les demander, on pense qu'on a été entendue...)
Donner des cadeaux, parfois, sans que ça soit un anniversaire ou une autre date, comme on peut le faire avec ses ami(e)s, mais est-ce que c'est juste un truc des filles, lorsqu'on offre un truc à ses copines parce qu'on sait que ça va leur plaire, et que ça nous plaît aussi, et ça nous fait plaisir, on pense à ceux qu'on aime avec un présent, on est présent à eux/elles.
Donner la liberté, c'est plus facile lorsqu'on peut compter sur l'autre, en qui l'on peut avoir confiance, lorsqu'on sait qu'il ne se débinera pas à la première paire de fesses venue et vue, puis à la deuxième vue et venue (et les autres après) et pas seulement sur un panneau 4 par 3.
Donner des choses qui resteront, et qui partiront, comme les souvenirs, les photos jaunissent et se racornissent.
Ca sert à montrer à l'autre que même si on aime vraiment beaucoup son travail on fait un petit effort, mais l'effort ne peut se faire que s'il vient du coeur, si on en a un, il ne peut se forcer, il peut se forcer pour d'autres choses en fait, pas pour les choses qui viennent du coeur, pour celles qui viennent d'ailleurs ; c' est "gratuit", donc "facile" à donner, puisque ça ne vient pas du coeur. Il ne faut pas de justification pour cela.
C'est dire à l'autre, un jour ou l'autre, qu'on voit bien qu'il ne peut donner ce qu'il n'a pas, que ça ne changera pas et qu'on n'avait pas vu qu'il ne l'avait pas, on croyait juste que c'était là...
Il y a toutes ces interrogations, écrites et dites, on les lit, ou pas, le temps passe, ça sert à grandir, à avancer anyway.
Donner du temps d'abord (non il faut (se) donner à son travail, c'est la Première chose dans la vie, c'est là où on passe le plus clair de son temps et là où on relève tous les défis).
Donner de la tendresse (et puis quoi encore, ça veut dire quoi d'abord, ça dépend, des gestes offerts, lorsqu'ils ont déja été demandés et qu'on pense qu'on n'a plus à les demander, on pense qu'on a été entendue...)
Donner des cadeaux, parfois, sans que ça soit un anniversaire ou une autre date, comme on peut le faire avec ses ami(e)s, mais est-ce que c'est juste un truc des filles, lorsqu'on offre un truc à ses copines parce qu'on sait que ça va leur plaire, et que ça nous plaît aussi, et ça nous fait plaisir, on pense à ceux qu'on aime avec un présent, on est présent à eux/elles.
Donner la liberté, c'est plus facile lorsqu'on peut compter sur l'autre, en qui l'on peut avoir confiance, lorsqu'on sait qu'il ne se débinera pas à la première paire de fesses venue et vue, puis à la deuxième vue et venue (et les autres après) et pas seulement sur un panneau 4 par 3.
Donner des choses qui resteront, et qui partiront, comme les souvenirs, les photos jaunissent et se racornissent.
Ca sert à montrer à l'autre que même si on aime vraiment beaucoup son travail on fait un petit effort, mais l'effort ne peut se faire que s'il vient du coeur, si on en a un, il ne peut se forcer, il peut se forcer pour d'autres choses en fait, pas pour les choses qui viennent du coeur, pour celles qui viennent d'ailleurs ; c' est "gratuit", donc "facile" à donner, puisque ça ne vient pas du coeur. Il ne faut pas de justification pour cela.
C'est dire à l'autre, un jour ou l'autre, qu'on voit bien qu'il ne peut donner ce qu'il n'a pas, que ça ne changera pas et qu'on n'avait pas vu qu'il ne l'avait pas, on croyait juste que c'était là...
Il y a toutes ces interrogations, écrites et dites, on les lit, ou pas, le temps passe, ça sert à grandir, à avancer anyway.
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