Michel Houellebecq, Frédéric Beigbeder et Alexandre Jardin
"Le plaisir, contrairement au bonheur, a le mérite d'exister" écrit le second dans Nouvelles sous Ecstasy, nouvelles sous la ceinture plutôt.
Tous ses fantasmes y passent et ce n'est même pas drôle...
A Paris, New York, on peut déménager on se retrouve le même, à tomber dans l'abîme de soi, à s'abîmer pour se trouver et pouvoir écrire (et être publié).
Alors on se perd, on écrit, on l'écrit. La vie sous ecstasy ne fait pas envie car la vie sans ecstasy, pour qui en a envie, est aussi
une aventure palpitante.
Bon, ses romans sont plus courts que ceux de Houellebcq, on les fini plus vite!
Mais ils verbalisent, scandalisent et en fin de compte traduisent un état d'esprit riquiqui ; on doit traîner en Thaïlande (elle doit avoir moins de quinze ans), ou dans certains clubs, sous peine de mourir idiot et surtout de ne pas voir son nom publié dans Voici un lundi...
En fait, plus j'y pense et plus je me dis que ça va au-delà du snobisme que ce besoin dans la fiction de se sentir si supérieur, à qui, à quoi...
Le Roman de la vie des Jardin est trop court pour moi. C'est l'inverse. On m'a mit l'eau à la bouche et je reste sur ma faim, il n'y en a pas assez, parce qu'il y aurait trop à dire, ou pas assez, en fait?
Comment écrire sans tout dire, tout en voulant dire.
Il y a tant à romancer, et tout est survolé, comme arrêté en plein vol.
Comme une mise à distance aussi, pourquoi?
Sans doute ne vaut-il parfois pas s'approcher de la réalité, un grand-père à Vichy durant les années grises et lourdes, des noms connus, parfois divulgués, parfois pas.
Afin de pouvoir en dire un peu plus dans un autre livre, inspiré de la "réalite"?!
Tous ses fantasmes y passent et ce n'est même pas drôle...
A Paris, New York, on peut déménager on se retrouve le même, à tomber dans l'abîme de soi, à s'abîmer pour se trouver et pouvoir écrire (et être publié).
Alors on se perd, on écrit, on l'écrit. La vie sous ecstasy ne fait pas envie car la vie sans ecstasy, pour qui en a envie, est aussi
une aventure palpitante.
Bon, ses romans sont plus courts que ceux de Houellebcq, on les fini plus vite!
Mais ils verbalisent, scandalisent et en fin de compte traduisent un état d'esprit riquiqui ; on doit traîner en Thaïlande (elle doit avoir moins de quinze ans), ou dans certains clubs, sous peine de mourir idiot et surtout de ne pas voir son nom publié dans Voici un lundi...
En fait, plus j'y pense et plus je me dis que ça va au-delà du snobisme que ce besoin dans la fiction de se sentir si supérieur, à qui, à quoi...
Le Roman de la vie des Jardin est trop court pour moi. C'est l'inverse. On m'a mit l'eau à la bouche et je reste sur ma faim, il n'y en a pas assez, parce qu'il y aurait trop à dire, ou pas assez, en fait?
Comment écrire sans tout dire, tout en voulant dire.
Il y a tant à romancer, et tout est survolé, comme arrêté en plein vol.
Comme une mise à distance aussi, pourquoi?
Sans doute ne vaut-il parfois pas s'approcher de la réalité, un grand-père à Vichy durant les années grises et lourdes, des noms connus, parfois divulgués, parfois pas.
Afin de pouvoir en dire un peu plus dans un autre livre, inspiré de la "réalite"?!
0 Comments:
Post a Comment
<< Home