
(...)
Sans lui nous ne sommes rien, et le paradoxe, c'est que nous, les chimères du cerveau d'un autre, nous survivrons au cerveau qui nous a fabriqué, car une fois lancés dans le monde, nous continuons à exister à jamais et on continue à raconter nos histoires, même après notre mort.
Le dernier roman de Paul Auster est compréhensible lorsqu'on connaît son oeuvre, on y reconnaît certains de ses personnages...
C'est un roman à l'atmosphère étrange dont les personnages sont déja des personnages de romans, des romans d'Auster, une mise en abyme folle, claustrophobique, dont on ne sort pas.
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