Thursday, March 29, 2007



Pink Martini Una Notte A Napoli Lyrics

Una notte a Napoli
Con la luna ed il mare
Ho incontrato un angelo
Che non poteva più volar
Una notte a Napoli
Delle stelle si scordò
E anche senza ali
In cielo mi portò

Con lui volando lontano dalla terra
Dimenticando le tristezze della sera
In paradiso, oltre le nuvole
Pazza d'amore come le lucciole

Quanto tempo può durare?
Quante notti da sognare?
Quante ore, quanti giorni
E carezze infinite
Quando ami da morire
Chiudi gli occhi e non pensare
Il tempo passa, l'amore scompare
E la danza finirà!

Una notte a Napoli
Con la luna ed il mare
Ho incontrato un angelo
Che non poteva più volar

Una notte a Napoli
Delle stelle si scordò
E anche senza ali
In cielo mi portò

Tristemente tutto deve finire

Ma quando il cuore mi ha spezzato
Ed in cielo mi ha abbandonato
Adesso sulla terra son tornata
Mai più di amare mi sono rassegnata

Ma guardo su!

Quanto tempo può durare?
Quante notti da sognare?
Quante ore, quanti giorni
E carezze infinite?
Quando ami da morire
Chiudi gli occhi e non pensare
Il tempo passa, l'amore scompare
E la danza finirà!

Una notte a Napoli
Con la luna ed il mare
Ho incontrato un angelo
Che non poteva più volar
Una notte a Napoli
Delle stelle si scordò
E anche senza ali

In cielo mi portò

In cielo mi portò
In cielo mi portò
In cielo mi portò

Tuesday, March 27, 2007

Promenade sur la plage à Belle ile en mer

Friday, March 23, 2007

D'Antigone à la femme d'à côté.



La Femme et le Sacrifice. D'Antigone à la femme d'à côté 20,00€


On a sacrifié les femmes au nom d'à peu près tout : morale, religion, politique, amour, maternité...
Aujourd'hui encore, malgré les discours d'émancipation, persistent viols, harcèlements, sévices conjugaux, interdits et humiliations. Le destin de la féminité en Occident serait-il sacrificiel ? En témoignent ces grandes héroïnes qui foisonnent dans nos mythes, nos légendes d'amour, nos religions, les textes fondateurs de notre culture, toutes plus fascinantes les unes que les autres.
Elles ont pour nom Iphigénie, Hélène, Penthésilée, Médée, Iseut ou Jeanne d'Arc mais elles sont aussi des sœurs, des voisines, des exilées, des femmes croisées tous les jours dans la rue, prises à leur insu dans des vies manquées, blanches... De quel sacrifice ignoré la vie de ces femmes se soutient-elle ? De quelle façon ces figures mythiques circulent-elles dans notre inconscient ?

Dans un essai de mythologie quotidienne, Anne Dufourmantelle interroge et retourne les destins spectaculaires de ces héroïnes en les confrontant à ceux, anonymes, parfois tragiques, de ces proches inconnues.
D'une écriture subtile, elle approche la secrète texture de nos névroses et déploie la dramaturgie. aussi énigmatique que salvatrice, d'une véritable érotique du sacrifice au féminin.


Editions Denoël, 02/2007, 14.00x22.00cm broché, 330 gr, 299 pages
ISBN 2207254127

À BOUT DE COUPLE




Catherine Castro

À BOUT DE COUPLE

INDIGNE 160 pages - 10,00 €

Le couple est une institution qui reste le baromètre infaillible pour mesurer le degré d'intégration d'un individu. Le couple serait une promesse de bonheur. Il garantirait un itinéraire personnel réussi. L'époque a les enjeux qu'elle se donne, le nôtre, c'est l'amour fonctionnaire.

Parution : 08-02-2007.

C'est la Feist!

Thursday, March 22, 2007

Francis Picabia

Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction.

Erik Satie

Quiconque habite une tour est un touriste

Sunday, March 18, 2007



Je voulais être celle qu'il serrait le plus longtemps dans ses bras...

Il m'avait raconté que sa femme était jalouse de Françoise.
Il avait rencontrée Françoise à l'ECP si je me souviens bien, avant Nelly (sa femme) et ne l'avait jamais véritablement quittée, il a du mal, ce mâle, à quitter.
Il l'a revue sous toutes les coutures après son divorce.
Bref, il revoyait Françoise de temps en temps et sa femme était jalouse car il la serrait longtemps dans ses bras pour lui dire bonjour, la gardait un peu plus que de raison, son hug dérangeait sa femme, mais il le faissit quand même.

J'ai rêvé d'eux il y a quelques nuits. De lui et de Françoise. Je n'avais jamais rêvé d'elle auparavant mais lorsqu'on rêve on ne rêve que de soi, et moi là-dedans je veux/voulais être celle qu'il garde le plus longtemps dans ses bras...
Je voulais être celle qu'il garde avec lui, près de lui, pas juste une amante, de passage, ce qu'il a juste aimé de moi.

Je m'y suis essayée, esquintée, cassé la santé, déglinguée, j'ai essayé de me sauver, au propre et au figuré, essayé de prendre la poudre d'escampette. Je l'ai quitté brutalement comme la mort sépare brutalement ceux qui s'y attendent le moins.

Have a great Sunday!!!







































Wednesday, March 07, 2007

"La mort elle aussi brille par son absence."

Jean Baudrillard (in Cool Memories, 1980-1985, Galilée)

Hello!


Apple iPhone Hello

Tuesday, March 06, 2007

Frédéric Amblard à la galerie de Joëlle Possémé quelque part dans le 11ème...

Le tableau n°12 : Couple au milieu des toiles. Debouts et enlacés, les tableaux les entourent, les enserrent, les désignent. L'espace ternirait sans eux.

S'extraire des la vie sous la pluie à Paris, se réfugier dans l'antre feutrée d'une galerie amie, le chat est chez lui, déambuler parmi les toiles, les couleurs, parler avec les amateurs, le peintre et les autres peintres, sculpteurs... S'extraire, comme on fait un une retraite dans le silence, le recueillement, dans la couleur de la vie.

Day for night


Sunday, March 04, 2007

Combat de nègre et de chiens de Koltès



Autre lecture à côté de la pièce de Catherine Anne.

Koltès prévient: « Combat de nègre et de chiens ne parle pas de l’Afrique et des Noirs... elle ne raconte ni le colonialisme ni la question raciale. Elle parle simplement d’un lieu du monde... sorte de métaphore de la vie ou d’un aspect de la vie... »

Pièce africaine



Pièce africaine au TEP

Catherine Anne

Quelque part en Afrique, huit touristes et leur guide… Brusquement le « circuit aventure » est interrompu par une panne de moteur, au milieu du désert, près d’un site rupestre nommé « la Montagne des Esprits ». À partir de cette panne, les tensions, les désirs, s’exacerbent. Chaleur accablante, vide oppressant, inquiétude, impatience, méfiance. Lorsque vient la nuit, rien n’est réparé. Ils doivent camper, s’installer dans l’attente. De l’obscurité surgissent trois inconnus aux visages sombres. Ils sont mystérieux, tombés du ciel. L’un d’eux se prétend même mécanicien. Peut-il réparer ce qui doit être réparé ? À quel prix ? Les chants rythment cette « pièce africaine », partie d’une défaillance qui met à jour les failles et les incompréhensions au sein de ce groupe d’êtres humains, noirs et blancs, femmes et hommes, réunis par le hasard…

À partir d’une situation simple, la pièce fait crisser, grincer, suinter les rapports réels et fantasmatiques entre l’Afrique Noire et la France. C’est une fable, qui démarre dans une apparente légèreté d’opérette, tourne au suspens policier et finit par un coup d’éclat. La pièce joue l’affrontement de deux groupes d’individus, et se construit autour du récit de Kossi, le guide noir et français, celui qui n’appartient à aucun de ces groupes. Les personnages n’ont pas à priori « l’étoffe des héros ». Ils sont comme ils peuvent, dramatiquement drôles et dérisoires, parce qu’ils sont dépassés. Je rêve d’amener, avec les moyens simples du théâtre, ces personnages à nous faire rire, frémir et fredonner ensemble. Et réfléchir. Ensemble. Parce que cet « être ensemble », qu’une belle représentation théâtrale amène comme un miracle, est justement ce qui nous manque tant. Être ensemble sur scène, être ensemble dans un théâtre, être ensemble dans la ville, être ensemble sur la terre.

Friday, March 02, 2007

The air is on fire...




C'est le titre de l'expo (la première) consacrée à David Lynch à la fondation Cartier.

Si on est un fan on va adorer, mais moi je n'aime bien et plus que bien, Mulholland Drive...

Alors l'expo on peut s'en passer, mais si on a un carton d'invitation alors on ne dit pas non ; non à l'attente interminable sous la pluie qui se solde par une entrée en force par la porte coulissante, un par un, dans la cohue post cohue du métro!

Une fois dedans on remarque, si on ne l'a pas vu de l'extérieur, l'immense nom en lettre bleues de l'auteur des "oeuvres" exposées, les titres sont sur les supports qui les soutiennent, je ne peux rien dire d'autre que je n'apprécie pas ce qui est exposé.
En bas il y a des "travaux" de jeunesse, sur des post-it, sur des serviettes en papier de restau américain, sur des sachets Air France, lorsqu'on est malade, sur des papiers à lettre d'hôtels, il voyage donc, ça ça se voit...

Plus avant, depuis longtemps, des gens sont déjà agglutinés, devant une scène, je verrai plus tard qu'il y en a qui sont même assis, il y a deux ou trois rangées rouges... Ils attendent le maître.
Il va venir. Il est là. Il ne donnera pas d'interview, en revanche il va jouer au synthé deux pièces de son cru, on se croirait dans un film, la steady-cam le survole pendant qu'il joue, puis il repart et ça dure un certain temps dans l'ascenceur!

Il n'y avait pas autant de monde lors de ma première exposition...