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"Doctor, doctor, can't you see I'm burning, burning", Thompson Twins

Je suis malade (au propre) j'ai vu un médecin mais j'ai attendu, depuis le 5/6 février, an affair to remember!
Date à laquelle j'ai su que je ne savais pas quand aurait lieu la prochaine "date" - like a date in English - donc ça me fait mal/mâle!.
Chic ça m'a permis d'attrapper un rhume et une sciatique qui me permettent de comprendre ça, je crois.
Mon énergie n'a pas trouvé où "aller", elle s'est en quelque sorte retournée vers moi, mais contre moi, jusqu'à me faire mal...

Nature Stings Itself
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"Jamais le premier soir"

Isabelle

Marie-Agnès

Sylvie

Christine

Sophie

Françoise

Fiona

Delphine

Nelly

Emmanuel

Lena

Nelly

Nadine

Armelle

Cécile 2001

Lena 2002

Françoise 2002

Marie-Madeleine 2002

Lena 2002
Françoise 2002
Moi 2002
Cécile 2002

Moi 2002/2003

Cécile 2004
Moi 2004

Catherine 2004

Moi 2005

Marie-Françoise 2005

Edith 2005

Jeanne 2005

Moi 2005
Valérie 2005
Sophie 2005

Moi 2006
Valérie 2006
Cécile 2006

Amelle 11/2006
Moi 11/2006

Amelle 12/2006
Moi 12/2006

La ligne directrice? Les différents prénoms.

Une bonne occas', quoi!


« Je tombe tout le temps amoureux(se) »

A chaque rencontre, leur cœur bat la chamade, confondant mirage et passion. Qui sont ces grands amoureux qui enchaînent coups de foudre et déceptions ?

La sensation qu’offre l’état amoureux est d’ordre hypnotique : « Ceux qui tombent sans cesse en amour sont de grands rêveurs, ils se sentent bien dans l’univers de l’imaginaire », remarque le psychiatre J.-D. Nasio.

Se complaire dans cette illusion est pour eux le moyen de fuir une réalité qu’ils perçoivent trop souvent comme brutale : « Ce sont la plupart du temps des personnes très actives et très rationnelles », note le psychiatre. Comme si, par sa nature rassurante et chaleureuse, le mirage de l’amour permettait de faire abstraction de la pression et des aspects matériels du quotidien.

Avant tout, ressentir

Sauf qu’après l’aveuglement il y a la confrontation avec la réalité. De fait, ces amoureux sont aussi des déçus de l’amour. Ils ont tôt fait de découvrir que l’autre n’est pas tel qu’ils l’avaient fantasmé. Pourtant, malgré leurs mauvaises expériences et les déceptions en série, ils recommencent. « Ce qui leur importe avant tout, c’est de sentir l’émotion dans l’excès, poursuit J.-D. Nasio. Ils cherchent les moyens de la vivre constamment. »

D’après Jean-Jacques Moscovitz, psychanalyste, ce comportement propre aux personnalités instables révèle un désir inconscient de se poser en maître de l’amour : « A travers cette attitude, elles veulent montrer au monde qu’elles sont des virtuoses de la passion. » Or, explique-t-il, c’est exactement l’inverse : « Tomber toujours amoureux, c’est refuser de connaître l’amour. On évite d’avoir à le vivre en profondeur et dans la durée. »

Combler un manque intérieur

« Ces personnes cherchent avant tout à être aimées, affirme Jacques Cosnier, psychologue. Cela a à voir avec leur propre histoire et leur développement affectif. » En effet, parmi les pulsions qui offrent à chacun d’organiser son histoire de vie, il y a la pulsion d’affiliation. Celle-ci nous incite à chercher des soutiens affectifs dans nos cercles amicaux, professionnels et familiaux tout au long de notre développement. « Chez ces caractères-là, on constate souvent qu’il y a eu des manques dans ce domaine. » Des carences que chacun tente de compenser en tombant amoureux.

Ces personnalités cherchent à l’extérieur – chez leur partenaire – le moyen de combler un manque intérieur. Dès lors, elles se trouvent dans un état de dépendance affective. Un équilibre tout aussi illusoire, car cet état empêche leur propre épanouissement et les expose à de profondes déprimes : quand l’autre n’est plus là, il ne reste plus que… le vide.

Refuser toute séparation

Ce comportement est, pour Jean-Jacques Moscovitz, une façon de nier la frustration engendrée par le complexe d’Œdipe en le prolongeant. Ainsi, ils ne prennent pas conscience de la différenciation des sexes, des limites personnelles, de la séparation nécessaire entre les êtres, etc. « Ces personnes restent dans l’appréhension pré-œdipienne de l’amour qui consiste à refuser que celui-ci puisse être autrement qu’idéalisé et fusionnel », assure le psychanalyste. Adultes, elles reproduisent à l’infini l’image de l’amour idyllique entre la mère et son enfant. « Au fond, conclut-il, c’est la preuve de son amour fou pour sa mère. » Une attitude dictée par ce fantasme inconscient : « L’amant, c’est maman », comme l’a joliment formulé le psychanalyste Daniel Sibony.

Laura Lil

© Psychologies.com 2006

I was e-mailing my friend about relationships with parents. From that I came up with -

They love you in the only way that they know how - flawed or as good as it may be. Every person has a different way of loving. Dictionary definitions of the word love does not have any correlation to how we actually love each other. "Love" is so deep (generally idealized) and there are as many variations as there are people in the world that in reality, there can be no definition of what it actually is. A definition of a word is just an agreement on how we use the word. In the case of love - well - we just all love differently.

Starting Life
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Elle était belle et émouvante Meryl Streep dans The Bridges Of Madison County, elle a une voix merveilleuse, chaude, féminine, la dernière fois que j'ai vu le film on a arrêté le DVD... et Francesca reste telle quelle, sauf si on retourne voir Meryl Streep au cinéma et on entend sa voix...

Originally uploaded by mio_slowphoto.

55-1
Originally uploaded by annabelletexter.

Faire ma vie avec lui
Vivre avec lui
Pouvoir compter sur lui
Dans les coups durs
Lorsque je suis malade
Il ne prendra pas les jambes à son cou
A la première difficulté

Oups/ouf!, il est déja parti!

Light is calling (Bill Morrison)

Sur Arte je viens de revoir un court métrage sons, musique et images lancinants (il faut le faire, des images lancinantes à voir!)
C'est plutôt la musique que je trouve lancinante en général (pas toute). Les images sont celles d'un film de 1926, The Bells de James Young. Elles ont été remontées à l'aide d'une trieuse optique et les images sont comme "brûlées" on les distingue parfois à peine.

C'est merveilleux (c'est juste une pellicule dégradée). Ca bouge. Ca s'agite
C'est rouge
Comme un coeur qui bat

Il m'a emmenée dîner au Georges
Dans le belle robe qu'il m'a offerte
Pour Noël
Au dessus des dessous choisis

Puis nous sommes allés boire un verre dans un joli bar
Où nous avons brunché un dimanche

Nous avons marché au Mont Saint-Michel
Traversé la baie à pied

Pris un avion vers les USA
Marché dans les canyons new yorkais
Au son des sirènes des pompiers
Et des ambulances

Marché par les chemins enneigés
Du Jura hivernal


Il l'a dit "oui" c'est qu'il l'a fait...

J'y pense et y repense

Que je lui ai dit que je serai seule, toute seule, peut-être pour ce qui reste des jours et des mois et des années.
Pendant qu'elle, elle sera avec lui, elle que je connais?
Je ne veux pas être seule, penser que je le serai, mes ami(e)s sont là mais je ne "construit" pas la même chose ainsi!
C'est bête, ça va peut-être passer...
Je lui en veux, je le trouve lâche envers moi, il s'est joué de moi, a profité de ma crédulité, de ma naïveté, de ma volonté à aller plus loin que le week end prochain, lui c'était juste aller jusqu'au jour suivant en pensant déja à une autre, sait-il que j'ai comprit cela?

Je relis Sagan, c'est léger dans le drame, comme moi, non, je plaisante!

Mon autre prénom

est Edith comme celle du 15ème, avec elle il a dit que c'était une histoire de cul, parce qu'il me traîte comme elle, ne me parle plus (jamais), de quoi pourrait-il bien (me) parler??? Moi je sais bien qu'il était avec moi pour le cul, puis avec sa collègue (son nom a été l'objet d'un jeu de mots) - ses collègues ont des noms de choses : baton, bureau, poirot, cochon... - on a bien dit, c'est une fine équipe!
Non mais qu'est-ce que je suis allée croire, où ai-je bien pu entendre (sur mon répondeur) qu'il voulait construire avec moi, une maison? un immeuble, une cabane de l'enfance?... C'est toujours sur le répondeur ou par e-mail qu'il a "dit" des choses un peu implicantes, il les aurait dites en face de toute façon pour les entendre d'abord, c'est si bon pour l'égo de dire de belles paroles que l'on sait belles et que l'autre a envie d'entendre, et puis une de ses répliques favorites est ça n'engage à rien, ouais, en tout cas ça ne rime avec rien et il l'a fait et pour lui il est allé au bout de la relation, il a vécu la relation à fond, ah bon il y avait une relation?! Il est allé au fond des choses, des gens, il les connaît, il les jette et bon débarras!
Et au bout ça veut dire jusqu'à ce qu'il croise à nouveau sa collègue à la bibliothèque dont elle s'occupe le vendredi et dont il perd les livres, ça veut dire jusqu'à ce que son cerveau, à cause d'un coup de fil, lui fasse penser que peut-être il y a tellement de bouts, et puis il faut absolument qu'il y aille et il sait qu'il se prend des gamelles?
But he did it! Il a finalement eu cette fille avec qui il attendait de coucher depuis 20 ans, il connaît les filles, à sa manière, il sait ce qu'elles ont dans le ventre... rien?

Je suis en colère, elle ne se calme pas, je pense à la robe qu'il voulait m'offrir, pour être belle pour lui...

Dans "Fauteuil d'orchestre" il y a un mec dont le père lui dit qu'il gagne de l'argent mais qu'il ne le dépense pas, mais qu'il achète des ordinateurs et des canapés IKEA... Ce père, joué par Claude Brasseur, a perdu sa femme et il sait que sa jeune maîtresse ne remplacera jamais celle avec qui il a vécu sa plus belle histoire d'amour, il veut vivre le temps qu'il lui reste, il ne cherche pas à faire du mal, même sans le vouloir.
Bon c'est une film qui s'oublie vite, trop de dialogues, c'est assez "stuffy" et parfois répétitif, c'est rare un film où le même dialogue est dit 3 ou 4 fois par le même personnage... Mais on ne dit pas sur l'affiche "amis pour la vie"!!! Ouf!

Dear Diary : Il a aussi écrit ça en décembre

- jeudi 1er décembre, notre longue conversation au téléphone.
- vendredi 2, j'ai écrit et dit à V. que je t'avais revue depuis le mois d'août. longue discussion avec elle au téléphone, on n'a pas évoqué de se revoir.
- samedi 3 7h du matin, elle m'appelle me demande si elle peut passer prendre le stuff IKEA. elle passe, on passe chez son frère, on remplit sa voiture, on va à Cergy, on installe. malgré ce que je lui avais dit la veille, me demande de rester. longue discussion au café, et on se sépare. depuis, 0 (zéro) message ni conversation téléphonique ou de vive voix.
- dimanche 4 je te revois. camera kids, c'était bien, et surtout t'attendre sur les Champs, j'ai aimé.
- lundi 5 toi et moi on décide de se revoir mercredi.

le reste du temps je bosse, je dors, je mange, je pense à toi, je lis.


Ouais, bof, same shit!...
Le travil avant tout et moi après, et puis quoi encore!
Je pourrais écrire son nom en entier, ça ne changerait pas le fait qu'elle y a cru elle aussi et qu'il s'en est sorti plutôt pas mal cette fois encore! Il lui fait les courses chez IKEA, comme c'est gentil et attentionné, en fait elle s'appelle Ma-belle-mon-amour-je-t-aime... et lui Nick(viens-ici-que-j-te).
Ca m'a fait rire d'inventer ces noms et d'autres dialogues que j'ai failli envoyer, je connais aussi l'adresse, mais je la laisse aussi à ses illusions, lui il fait comme l'acteur qui court le cachet, il ne veut rater aucune opportunité, elles ont des noms de filles...

Dear Diary : Il a écrit ça...

12/9/05
moi je veux passer du temps avec toi, parler, discuter...

En fait, il n'a pas suivi ses paroles, en l'air, virtuelles, car juste écrites pour être "rassurantes".

Ses paroles ne sont pas une parole donnée.

Il donne des mots, bien volontiers, et il garde le reste, tout le reste, mais y a-t-il un reste à donner? Et si cela n'existait en fait pas, ces paroles qui disparaissent sans jamais avoir été réalisées?...

I don't know what is awsome,
I tought I did once,
and now it's all gone...

this is what I call awesome

this is what I call awesome
Originally uploaded by androidwy.

Wait and see

I'm gonna be naughty
And YOU won't be able to spank me...

I'm gonna be nasty
YOU don't know me

You're not gonna be happy!

Never ever and your hand will hurt from wanting!

Foidure

Foidure
Originally uploaded by Tendance Flou.

Un tour de parking

Chouette!

Les ami(e)s
Avec qui
Pas de chichis
Allons-y
Chez Ikea pardi!