Friday, September 30, 2005

Hungry for you - Sting - 1981

Mais non pouvons faire ce que nous voulons
J’aurais toujours faim de toi
Mais non pouvons faire ce que nous voulons
J’aurais toujours faim de toi

Mais non pouvons faire ce que nous voulons
J’aurais toujours faim de toi
Mais non pouvons faire ce que nous voulons
J’aurais toujours faim de toi

No matter what I do
I’m still hungry for you
No matter what I do
I’m still hungry for you

Rien de dormir cette nuit
Je veux de toi jusqu’à ce que je sois sec
Mais nos corps sont tout mouillés
Complètement couverts de sueur

Quelque chose est arrivé

qui ne cesse de nous lier
de nous re-lier
ça n'est pas cassé
est-ce que ça peut l'être?
on n'en peut plus
on en veut plus
notre instinct ne nous trompe quand même pas à ce point
nous ne sommes même pas fatigués
nous n'en avons jamais assez
nous en voulons encore
et encore
parce que nous le sentons
nous le re-sentons
chaque fois recommencée
est-ce plus fort que nous?
c'est ça l'amour?
it's haunting me
it's eating me
it keeps me from eating sometimes

Thursday, September 29, 2005

Haiku parisien - part one

J'ai pris le métro
A la station Clémenceau
Et c'était si beau

Wednesday, September 28, 2005

Champs-Elysées Clémenceau




Interdiction de photographier dans le métro...

Coronelli


Coronelli
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Celestial
Terrestrial
Globes

Tuesday, September 27, 2005

Feeling like unmyself

Last Thursday
(A day to remember as far as i'm concerned)
We had a nice little long conversation...
Then went to bed
Almost reunited by a taxi driver
Separately
Almost reunited by a taxi driver
With each other though...

Et si je m'en vais avant toi

Françoise Hardy

Et si je m'en vais avant toi


et si je m'en vais avant toi
dis-toi bien que je serai là
j'épouserai la pluie, le vent
le soleil et les éléments
pour te caresser tout le temps
l'air sera tiède et léger
comme tu aimes
et si tu ne le comprends pas
très vite tu me reconnaîtras
car moi je deviendrai méchante
j'épouserai une tourmente
pour te faire mal et te faire froid
l'air sera désespéré
comme ma peine
et si pourtant tu nous oublies
il me faudra laisser la pluie
le soleil et les éléments
et je te quitterai vraiment
et je me quitterai aussi
l'air ne sera que du vent
comme l'oubli...

Paroles et Musique: Françoise Hardy 1972

Friday, September 23, 2005

Il a dit oui

Hier soir au téléphone, on a parlé et il a répondu à mon attente
Hier soir jeudi 22 septembre 2005
Hier soir on a parlé et on a rit
Il ne faut jur... de rien (ça rime) je lui ai dit
Bien sûr il a éclaté de rire
Il a rit à propos d'autre chose
Il a imaginé
Ce que je lui ai donné à imaginer

Il n'a pas dit oui tout de suite
Je lui ai rapellé des souvenirs
Et celui que j'aime
Un des derniers
Du 3 septembre 2005
Dès mon retour de Corse

Sur les marches de l'opéra Bastille
Un secret partagé
Avec les gens autour de nous
Qui nous observaient
Nous mangeaient du regard

Et nous
Au milieu
Entre nous
Très entre nous (soit-dit)
On a parlé
Et après on ne pouvait plus
On ne voulait plus

Thursday, September 22, 2005

Hi Charlie Mercier!

A little Boy says to his dad, "Daddy, how was I born?"

Dad says: "Ah, my son, I guess one day you will need to find out anyway!
Well, you see your Mom and I first got together in a chat room on AOL.
Then I set up a date via e-mail with your Mom and we met
at a cyber-cafe.
We snook into a secluded room, where your Mother agreed to a download from my hard drive.
As soon as I was ready to upload, we discovered that neither one of us had used a firewall, and since it was too late to hit the delete button, nine months later a blessed little Pop-Up appeared and said: You've Got Male!"

Wednesday, September 21, 2005

Paroles et Musique: Serge Gainsbourg, Isabelle Adjani 1983

Pull marine


J'ai touché le fond de la piscine
Dans le petit pull marine,
Tout déchiré aux coudes
Qu'j'ai pas voulu recoudre,
Que tu m'avais donné.
J'me sens tellement abandonnée.

Y a pas qu'au fond de la piscine
Que mes yeux sont bleu marine.
Tu les avais repérés
Sans qu'il y ait un regard
Et t'avais rappliqué.
Maintenant, je paie l'effet retard.

Avant de toucher le fond,
Je descends à reculons,
Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond.

C'est plein de chlore au fond de la piscine.
J'ai bu la tasse, tchin tchin.
Comme c'est pour toi, je m'en fous.
Je suis vraiment prête à tout.
Avaler, que m'importe,
Si on me retrouve à moitié morte.

Noyée au fond de la piscine,
Personne ne te voyait
Sous mon petit pull marine,
M'enlacer, j't'embrassais
Jusqu'au point de non-retour,
Plutôt limite de notre amour.

Avant de toucher le fond,
Je descends à reculons,
Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond.

Viens vite au fond de la piscine
Repêcher ta petite sardine,
L'empêcher de se noyer,
Au fond de toi, la garder,
Petite sœur traqueuse,
De l'air de ton air amoureuse.

Si nous deux, c'est au fond dans la piscine,
La deux des magazines
Se chargera de notre cas
Et je n'aurai plus qu'à
Mettre des verres fumés
Pour montrer tout ce que je veux cacher.

Retrouve-moi au fond d'la piscine
Avant qu'ça m'assassine
De continuer sans toi.
Tu peux compter sur moi :
J'te referai plus l'plan d'la star
Qui a toujours ses coups de cafard.

J'ai touché le fond de la piscine
Dans ton petit pull marine...

Paroles et Musique: Serge Gainsbourg, Isabelle Adjani 1983

Tuesday, September 20, 2005

Autumn


Autumn
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Deleuze

a dit qu'écrire n'est pas un mode du dire mais un mode de l'écoute.
Alors l'écriture, lorsqu'on se dévoile révèle les autres, le monde, "le miroir que l'on promène le long d'un chemin" de Stendhal.
L'écriture irremplaçable.

Monday, September 19, 2005

Miellée

Appropriée
Inappropriée
Priée
Flouée
Exaltée
Clouée
Rabrouée
Refoulée
Crispée
Happée
Recourbée
Flippée
Laminée

Saccagée

Aimée

Michel Houellebecq, Frédéric Beigbeder et Alexandre Jardin

"Le plaisir, contrairement au bonheur, a le mérite d'exister" écrit le second dans Nouvelles sous Ecstasy, nouvelles sous la ceinture plutôt.
Tous ses fantasmes y passent et ce n'est même pas drôle...
A Paris, New York, on peut déménager on se retrouve le même, à tomber dans l'abîme de soi, à s'abîmer pour se trouver et pouvoir écrire (et être publié).
Alors on se perd, on écrit, on l'écrit. La vie sous ecstasy ne fait pas envie car la vie sans ecstasy, pour qui en a envie, est aussi
une aventure palpitante.
Bon, ses romans sont plus courts que ceux de Houellebcq, on les fini plus vite!
Mais ils verbalisent, scandalisent et en fin de compte traduisent un état d'esprit riquiqui ; on doit traîner en Thaïlande (elle doit avoir moins de quinze ans), ou dans certains clubs, sous peine de mourir idiot et surtout de ne pas voir son nom publié dans Voici un lundi...
En fait, plus j'y pense et plus je me dis que ça va au-delà du snobisme que ce besoin dans la fiction de se sentir si supérieur, à qui, à quoi...

Le Roman de la vie des Jardin est trop court pour moi. C'est l'inverse. On m'a mit l'eau à la bouche et je reste sur ma faim, il n'y en a pas assez, parce qu'il y aurait trop à dire, ou pas assez, en fait?
Comment écrire sans tout dire, tout en voulant dire.
Il y a tant à romancer, et tout est survolé, comme arrêté en plein vol.
Comme une mise à distance aussi, pourquoi?
Sans doute ne vaut-il parfois pas s'approcher de la réalité, un grand-père à Vichy durant les années grises et lourdes, des noms connus, parfois divulgués, parfois pas.
Afin de pouvoir en dire un peu plus dans un autre livre, inspiré de la "réalite"?!

Sunday, September 18, 2005

Innacceptance

Aliénation de mon esprit
Scandalisée
Offenssée
Heurtée
Irritée
Froissée
Dégoûtée
Peinée
Haineuse
Mal à mon coeur
Mal à digerer
Révoltée

Tout ça, tout le reste, aussi, c'est moi

Frantic

Le battement d' ailes d'un papillon en Corse peut provoquer un tsunami à Courbevoie.

Saturday, September 17, 2005

Faire la queue chez Berthillon

Il fait chaud
Il fait froid
Quoi de mieux
Que de
Berthillonner chez soi!

(ou une cabine de Monop si chez soi fait défaut...)

Friday, September 16, 2005

In English it's

Too good
To be
TRUE

Wednesday, September 14, 2005

La virevoltance

Dans un square parisien
Seule sur un banc vert, lisant
Le soleil m'aveugle
Mais quelque chose
Du côté de mon oeil droit
Bouge
Virevolte
Me prend dans ses filets
Et je relève la tête
C'est un papillon blanc
Il tourne autour d'un autre papillon blanc
A terre, retourné sur le ventre
Celui qui est en l'air est comme fou
On entendrait presque sa douleur
On la voit
Elle virevolte devant moi
J'en ai les larmes aux yeux

Le papillon à terre se relève
Il vole
Il tourbillonne avec l'autre
Il papillone
Ils sont blancs tous les deux

Soudain il tombe
Mais vole bientôt à nouveau
Pour retomber aussitôt

Je pleure
Le papillon mort
Mon amour mort
Mon papillon (lui aussi!)
Relevé puis retombé
Relevé puis tombé

C'est la vie
La mort
Une petite mort
Pour renaître à nouveau
A chaque jour

Renaître à soi-même
Petit à petit
S'envoler
Virevolter
Pour de vrai

Un autre jour

Thursday, September 08, 2005

On sait que la fiction est la réalité!

Jules et Jim
Le tourbillon de la vie


Elle avait des bagues à chaque doigt,
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m'enjôla.

Elle avait des yeux, des yeux d'opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l'ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m'fut fatale {2x}.

On s'est connus, on s'est reconnus,
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue
On s'est retrouvés, on s'est réchauffés,
Puis on s'est séparés.

Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie
Je l'ai revue un soir, hàie, hàie, hàie
Ça fait déjà un fameux bail {2x}.

Au son des banjos je l'ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m'avait tant plu.
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M'émurent plus que jamais.

Je me suis soûlé en l'écoutant.
L'alcool fait oublier le temps.
Je me suis réveillé en sentant
Des baisers sur mon front brûlant {2x}.

On s'est connus, on s'est reconnus.
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus de vue
On s'est retrouvés, on s'est séparés.
Dans le tourbillon de la vie.

On a continué à toumer
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Puis on s'est réchauffés.

Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie.
Je l'ai revue un soir ah là là
Elle est retombée dans mes bras.

Quand on s'est connus,
Quand on s'est reconnus,
Pourquoi se perdre de vue,
Se reperdre de vue ?

Quand on s'est retrouvés,
Quand on s'est réchauffés,
Pourquoi se séparer ?

Alors tous deux on est repartis
Dans le tourbillon de la vie
On à continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.

Texte soumis aux Droits d'Auteur - Réservé à un usage privé ou éducatif.

Wednesday, September 07, 2005

reach


reach
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I want to reach some more
More more more...
Je sais
Je n'ai pas l'air comme ça
Mais je parle toute seule
(à mon blog - à défaut de mon homme!)

Je suis désespérée
Désespérante pour certain(e)s!...

Je suis encore amoureuse de lui`
Et ça l'aide pour aller vers une autre
(Non je sais que ça lui passe complètement par-dessus la tête!)
Et à revenir vers moi
De temps en temps
Depuis qu'il y a une autre femme dans sa vie

Elle ne le sait pas
Elle est comme moi lorsque je l'ai rencontré
Toute éblouie
Pourtant tout était déja là

Madeleine Chapsal dit qu'on a voulu la punir d'être une femme sans enfant
Je crois que je me retrouve dans ce qu'elle écrit là
L'intuition féminine lorsqu'elle vous fait faire de ces rêves...


Aurais-je un jour l'esprit serein
Pour aller de l'avant
Seule
Ou avec quelqu'un
Car

Il m'a dit à bientôt
(Et je veux qu'il soit aussi à moi
De temps en temps!)

On ne vit qu'une fois

Saturday, September 03, 2005

Envie de bohème (le baiser)

On s'embrasse
Comme on s'embrase!

Autour de nous
La foule

Nous
Envie
De la vie

On rit
Rien d'autre n'existe

Ce qui est fort qui
Nous soulève
Nous entraîne

Vers nous
Recommencés

Une esquisse au fusain
Un pastel fruité

Un tableau de la passion

Nous la vivons
Au plus profond

Elle nous boucsule
Alors on bascule

Quelques nuages chauds chauds chauds au-dessus d'Ajaccio!

Après la plage, le réconfort...



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Ca pourrait s'apeller un portrait en pied...

Barbarie


Barbarie
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Sac à malices


Sac à malices
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Sur le marché d'Ajaccio ça sent bon!